Ogawa Mizuiro

(F)  Ton sourire est le signe de ma méfiance. Il est anormal de ressentir une insécurité envers une personne de même sexe. Loin du désir. Il annonce une malsaine idée de vengeance et de haine. N'aurais-tu pas une violence envies de me rendre une visite avec tes charmants cinq frères. L’idée même de ressentir ta présence m’effraie. Ta carrure imposante contre celle que je le suis. Ai-je honte de ma crainte ? NON ! Je suis dans la certitude que lors d’un combat, mon corps se retrouvera dans une tombe au centre des tombeaux de la famille Ogawa.

(M) Assise dans ce petit café, je porte à mes lèvres les montagnes de crème chantilly garnie d’un généreux lissage chocolaté. Alors que cette mousse sucrée rencontrait mon palais, tu viens gâcher mon plaisir. Un homme ne devrait-il pas comprendre que de se mettre entre une sucrerie et une femme peut causer la mort. Ton geste gaffeur a fait sortir la gamine en moi. Un pantalon blanc fichu, mais mon péché mignon aussi ! Agissant comme une mère colérique. Mes doigts s’emparèrent de ton oreille en te forçant à m’accompagner à la caisse. Tristement, pauvre de toi, ma colère t’obligea à m’offrir un cadeau calorique.  Une fois le contenant en carton entre mes mains, mon sourire et une présentation polie apparut. Je me souviendrais toujours de tes yeux brillants ‘’elle veut mourir’’.

(F) Salagadou la menchika bou la Bibbidi Bobbidi Boo ! C’est de la magie ou je ne m’y connais pas ! Bibbidi Bobbidi Boo!

Ma petite fée marraine à moi ! Ta seule présence me réconforte au plus grand point ! Le souvenir de notre rencontre te revient-il ? Non ! Moi si ! Je ne suis pas d’une intelligence grandiose comme tu l’as remarqué. Mais, je sais où je vais ! Cette journée avait été la pire d’entre tous. Un pas rater dans une surprise de chien, un petit oiseau se vidant sur mon crâne, une automobile s’amusant dans un lac  et je passe. Rien pour moi. Tu as vu le crapaud passer devant cette boutique en y prenant une pitié. Sortant pour t’élancer vers cette visqueuse créature. Tu t’es transformé en bonne fée pour prendre soin de moi. Un changement éloquent. Une hideuse chose en princesse. Je ne pourrais jamais te remercier. Tu es devenue une amie et complice. Sans côté que sans toi moi et les arènes, nous aurions jamais fait connaissance. Je t’adore !

(M) Ne sois pas choqué ! Même-ci la vérité apporte une résistance être heureux. Les gens t’aperçoivent comme un prince charmant. Un homme galant garni de charme.  Il t’imagine aussi beau à l’extérieur cas l’intérieur. Des fondements non fondés. Ton horrible égo, ta personnalité superficielle,  ton regard hautain me répugnent. Oui ! Tu possèdes une beauté suffisante, mais pas de mais. Tu ignores pourquoi je sors de es gonds sort souvent à ta présence. Cependant, le fait que ton regard me regarde haut me blesser et vient me chercher. Un homme est une m**** si la femme en est autant à tes yeux. Nous sommes tous égaux. Je te le démonterais … un jour…

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