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 Shimizu Nyo ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société !

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Shimizu Nyo
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Shimizu Nyo


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MessageSujet: Shimizu Nyo ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société !   Shimizu Nyo  ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société ! EmptyLun 30 Juin - 13:10


Come out and play


Shimizu Nyo ▬ Yo ▬ Emploi non défini / Possesseur ▬ Célibataire ▬ Bang Yong Guk


Pouvoir ▬ Peur
Description du pouvoir ▬
Écoute le son de ma voix, entends-tu mes mots qui se glissent sournoisement dans tes oreilles ? Oui, bien sûr que tu les perçois, même si tu ne les comprends pas, même s’ils raisonnent comme une langue inconnue. Cela te rend mal, tu te décomposes, tu songes à l’obscurité et non à la lumière. Ce don, ou cette malédiction, vous fait entrer dans un état de psychose, un état incompréhensible de profonde folie. Vous voulez que cela cesse, vous voulez arrêter de divaguer parmi les ombres, or je suis le seul à en pouvoir voir la fin. 

Plus clairement pour les ignares. Il me suffit de vous parler avec volonté pour vous tourmenter, pour faire naître sous vos yeux vos plus grandes peurs, une violence verbale nous pourrions appeler cela ainsi. Avant cela survenait sans même que je m’en aperçoive, je prononçais des paroles que moi-même je ne comprenais pas. À présent j’en ai le contrôle, et j’ai le pouvoir de vous faire douter de vous, de vous bercer dans une folie dépressive. N’est-ce pas risible ? 

Heureusement pour vous les effets ne sont pas permanents, certes ils monopolisent vos pensées mais cela s’estompe lorsque ma voix s’éteint. 

Détermination du pouvoir ▬ Obscure (pouvoir à détermination uniquement obscure)


I live   Caractère
Je suis comme je suis


Ce que je suis, ce que j'étais, ce que je serais, il n'y a pas de mot assez précis pour définir cela. Il n'y a pas vocabulaire assez large pour vous dire ô combien je suis indescriptible. Je ne suis rien, mais tout à la fois. Je ne suis personne, mais tellement de monde à la fois. Je n'ai rien à cacher, rien à montrer. Je vis, pour vivre. Je ne suis qu'une ombre sur un mur blanc. Je suis Shimizu Nyo.

Ma personne vous important tant ? Au point de vouloir me connaître, au point de vouloir me cerner ? Croyez- moi, je n'ai rien à vous offrir, rien à vous donner. Je ne suis qu'un pantin sur cette grande scène qu'est la vie. Tout comme vous. Après tout nous ne sommes pas si différents. Vous êtes impurs, incorrects, mesquins, pathétiques. Exactement comme je le suis, voire moins, tout de même. Cependant, j'ai l'honneur, non que dis-je, l'immense honneur de l'assumer. Je ne fais pas semblant. Je ne cherche pas à être une personne que je ne suis pas. Je refuse d'être sympathique seulement sous vos beaux yeux. Ce serait impossible. J'ai un nombre incalculable de défauts, et des qualités inexistantes. De vous à moi, vous êtes tous plus pourris les uns que les autres. Et cela jusqu'à la moelle. Votre échine se courbe si facilement que votre visage racle le sol. Ne vous prenez pas pour Dieu, vous n'êtes que de misérables individus. Que de vulgaires crétins cherchant la joie, l'amour, la compassion. Et j'en passe, tellement ces sentiments me font vomir. Qui disons-le, ne sont que de parfaites illusions destinées à vous faire vous sentir bien. Car oui, seul le bonheur est toléré. Et le malheur, lui, ne devrait jamais naître. Non je ne vous déteste pas, je vous hais. Non je ne vous ignore pas, je vous méprise. Incapables, fiers et arrogants. Sous ce masque aux mille couleurs, se cache une face monstrueuse. Semblable à celle des bêtes provenant des légendes. Légendes, où ne résident ni fées, ni princes charmants. Vous l'avez compris, ou non pour les plus lents d'entre vous, je suis quelqu'un que l'on peut qualifier de misanthrope. Un être aveuglé par une image plus que dédaigneuse de la société et de l'univers qui l'entoure. Une image réelle. 

Ce monde, ou plutôt, cet enfer a beau me débecter, il me satisfait. Je ne pourrais pas le voir blanc, cela serait bien trop ennuyant. Cette atmosphère monochrome me convient. En fait pour tout vous dire, elle m'amuse. Il y a bon nombres de luxures à exploiter, et d'infractions à commettre. Fumer. Se droguer. Se prostituer. Boire. Battre. Tuer. Il nous faudrait bien plus d'une vie pour tout explorer, c'est pourquoi il faut s'y prendre vite. Je regrette de ne pas avoir goutté à ces délices avant. Ce que je regrette encore plus ? De ne pas avoir encore un minimum tout essayer. Je n'ai pas peur des répercussions que pourraient avoir mes actes. Si je dois payer, soit. Si je dois continuer, soit. Tout me comblera. Du moment qu'un quotidien morose ne m'attend pas. Du moment que je ne me retrouve pas enfermé dans un bureau comme tout hommes modèles. Ce que je suis loin d'être. Ce que je refuse d'être. 

Mature est un mot que je ne connais pas, ou que j'ai volontairement oublié. Il y a bien longtemps que j'ai cessé d'être sensé. Conforme à la morale. Je suis en marge de tout cela, loin d'une réalité toujours trop épuisante. Je n'ai pas besoin d'être sérieux. Non, j'ai plutôt besoin de me faire entendre, de crier, de râler ou encore de tout balancer. Je ne possède aucun sang froid, aucun bon sens, et aucune bonne manière. Je fais ce qu'il me plaît, tout en me délectant de la haine d'autrui. Quoi ? Bien sur que me faire détester me conquit. Mon insolence et ma vulgarité vous rendent mal à laise ? Très bien, je continuerais. Mon extravagance et mon physique vous font frôler l’infarctus ? Très bien, crevez en silence. Vous n'avez aucune utilité à mes yeux. Mais moi, j'en ai aux vôtres. Oui, je peux vous faire pleurer, vous faire fondre de douleur ou encore vous maltraiter verbalement. Or, un sourire se dessinera sur votre visage, au simple contact de mon corps si peu chaleureux. 

Je ne suis ni mauvais, ni gentil. Je me contente d'être ce que je suis, tout en suivant un chemin déjà tracé dans une forêt bien trop sombre. J'ai ouvert les yeux pour regarder droit devant moi, et j'ai saigné. J'ai appuyé mes mains contre l'écorce dur, et j'ai saigné. J'ai avancé tout en traînant les pieds, et j'ai saigné. Dans l'obscurité il n'y a rien, rien d'autre que le néant. Un silence assourdissant, un froid mordant, une douleur mystérieuse. Je suis vide, il n'y a rien en moi, toute trace d'humanité a disparu. Mon regard constamment éteint en est la preuve, il est là pour représenter ce que je suis. J'ai hérité de valeurs, d'un fardeau. Maintenant je dois tout traîner et ce même si cela m'écorche le dos. J'ai appris à oublier le monde, oublie toute horreur. Pourquoi classer les choses en fonction de ce qui est bien ou mal ? Nous faisons ce que nous devons faire, nous pensons comme nous devons penser. Pour certain je ne suis qu'un égocentrique qui ne voit rien d'autre qu'elle-même. Peut-être parce que je vous regarde tous avec indifférence, parce que c'est ce que vous me faites ressentir. Vous n'avez guère plus d’intérêt à mes yeux qu'un cadavre en décomposition. La putréfaction... Ce mot me câline, me conquit. Sa sonorité, sa signification, tant d'émotions. Très tôt on m'a appris que la vie n'était qu'un jeu. Je me considère comme étant déjà morte, je ne ressens rien, absolument rien. Mon enveloppe corporelle s'est figé, et mon esprit est partie en lambeaux.

Je suis froid, distant, et sûrement trop direct. Veuillez m'en excuser. Je n'ai pas vécu d'amour et d'eau fraîche. En fait, d'amour tout simplement. Et en ce qui concerne l'eau, pour ma part cela se limite au whisky. Je n'ai pas connu la sensation que peu vous procurer une faible et véritable étreinte. Ou du moins je l'ai oublié. On a toujours été dans l’incapacité de me satisfaire sentimentalement. De ce fait, je n'attends plus rien de vous autres. Je n'attends plus rien de la vie en elle-même. Tout est si noir, que pour moi la lumière n'a plus sa place. Ses faibles rayons, ne peuvent plus m'atteindre. Le temps où je pouvais voir le soleil se lever, est révolu. Le temps où je pouvais sentir la pluie couler sur mon visage, est révolu. Ces sensations, qui vous font vous sentir vivants ne m'atteignent plus. Mon existence est dénuée de tout intérêt. Si bien que je ne me préoccupe plus de ce qui peut être bon ou non pour moi.




Before   Histoire
La tête dans les étoiles ...

Je n’ai cessé de me remémorer cet instant, de ressentir cette douleur. Douleur qui a fait craquer mes os, qui a déchiré ma peau. Douleur qui a forgé une marque de fer dans mon dos, qui a empoigné mon cœur pour le faire fondre entre ses doigts. En ces jours de soleil et de pluie je n’oublie rien, tout demeure et rien de s’effacer. Je n’avais ni honneur, ni argent, je n’étais qu’un rebut de la société, un infâme déchet qui a plus sa place dans une décharge que dans les rues d'Hachioji, ma ville natale. Mon paternel était obsédé par se penser, mais lui contrairement aux autres y songeait depuis ma venue au monde, depuis que j’avais osé tuer ma propre mère. C’était une farce à ses yeux, une bien belle farce d’ailleurs, moi, Nyo naissant en échange de la mort de sa bien-aimée. Il ne l’a jamais toléré, et n’a vu en moi qu’un meurtrier. J’ai senti ses coups parcourir mon corps et ma chaire, j’ai senti sa haine heurter mon être. L’amour, non, il n’y avait pas d’amour, juste une tendre et délicieuse violence. Père, contemple ton oeuvre, c’est de tes mains que je me suis construit. Pourtant à l’époque, celle où on parle d’apprentissage et de savoir, je n’étais pas détestable. J’étais comme les autres enfants, je jouais, je riais, le ciel me semblait plus bleu et les nuages plus blanc. Tout n’était que terre inconnue en recherche d’explorateur. Mais les bons rêves fissent par s’estomper, ou par se briser violemment. Au lycée l’attitude de mon ivrogne de géniteur m’a porté préjudice. Les moqueries ne manquaient pas, tout comme les bizutages. J'étais frêle, seul, je n’avais que les larmes pour apaiser mon visage. Petit à petit j’ai décidé de peindre le tableau qu’on avait élaboré pour moi, je sortais le soir pour rejoindre les ombres qui avaient déjà mis dans de peine à me poursuivre. Alcool, fête, drogue, sexe, c’est lors de ma dernière année que tout s’est enchaîné. On a fini par me craindre, je terrorisais ceux qui avaient osé me dénigrer. Plus tard mon paternel pris la décision de m’écarter de sa demeure, je n’étais pas assez bon pour prétendre être son fils. Mais lui l’était-il assez pour réclamer un titre de père ? J’en doute. Je séchais régulièrement les cours, et je ne m’étais même pas présenté aux examens, je n’avais donc aucune qualification pour prétendre à un quelconque emploie. Je me suis engouffré dans la pénombre à la recherche d’argent facile, et croyez-moi il n’y a rien de plus simple. Bien que la débauche était présente je ne m’en suis jamais plein, je n’ai versé aucune perle salée. Je ne voulais redevenir la faible personne que j’avais été et pendant trop d’années. Alors au lieu de me morfondre et de supplier le crétin qui me servait de père, j’ai pris les choses en mains. J’ai rencontré une femme, une belle dont les traits n’avaient rien à envier aux dieux, elle m’a proposé de la suivre jusqu'à Tokyo pour un nouveau commencement. C’est donc ainsi que je suis arrivé dans la capitale, elle avait ce que je n’avais pas; des finances. Je suis resté auprès d’elle, loger, nourris, je ne pouvais rien demander de mieux. Aimer ? Non, non, loin de là, elle était utile c’est tout. Oui je profitais d’elle, mais elle ne semblait pas malheureusement. Quoi qu’il en soit j’ai fini par partir de chez la demoiselle, être un chien enchaîné n’était pas réelement la vision que je me faisais de la vie.

“Attends, on peut s’arranger!” “Nada.” J’essayais tant bien que mal de m’éloigner de ses griffes, mais vous savez tout autant que moi que les femmes cèdent difficilement. Elle me suivait, elle me suppliait de rester avec elle, pitoyable. “Écoute, ok tu m’as amené ici, mais je ne te n'ai rien promis. Je ne t’ai jamais dit qu’on allait vivre ensemble toute notre vie et qu’on aurait la blinde de gosses. Alors maintenant tu dégages!” Les mots étaient durs, la vérité peut faire mal, or il est préférable de l’entendre plutôt que de se bercer d'illusions. Soudain j’ai senti mon corps se perdre, sentant mes jambes se dérober je me suis écroulé sur le sol, ma poitrine était chaude, mon organisme tout entier lâchait prise. “Nyo!” “Me touche pas!”  Mes yeux ne parvenaient plus à discerner les étoiles dans le ciel froid de décembre. C’était la fin.
“Nyo, réveille-toi.” J’ai ouvert mes mirettes, les baladant tout autour de moi pour pouvoir me repérer. J’étais encore contre le sol gelé, j'ignorais si le temps s’était écoulé plus vite que ce que je pensait. “Tu as perdu connaissance pendant un instant, je vais t’amener à l'hôpital”. Ma main a empoigné son bras avec une force que je ne maîtrisais pas, tout en me redressant j’ai attrapé sa chevelure pour placer mes lèvres contre son oreille. De ma bouche sont sorti des mots dont l’existence m’était inconnue. Étrangement la jeune femme se replia sur elle-même, pleurant, implorant, hurlant, comme si la folie s'était emparée d’elle. Noir, la lumière c’était encore éteinte pour me plonger dans les abysses.
Vous l’avez donc compris, je ne suis pas n’importe qui, ou du moins je ne le suis plus. Après l’incident j’ai cherché à comprendre ce qui m’était arrivé. Personne n’a su me renseigner, et aujourd’hui encore j’espère trouver quelqu’un en capacité de m’expliquer ce phénomène. Tout ce que je sais, c’est que je ne suis pas un simple humain, et que mon devoir est de combattre contre d’autres “mutants”. Alors je ne suis qu’un bouffon destiné à amuser la foule ?





Mon pseudo est Keupon, j'ai 17 ans et je suis disponible 4 jours sur 7. J'aime le punk et le métal et j'apprécie moins la kpop. J'aimerai ajouter que oui c'est bizarre sachant que je suis sur un forum asiatique, avec un monsieur dont j'ignore tout. Mais j'aime beaucoup le contexte tout ça tout ça, de plus le petit est tout nouveau j'avais donc envie de lui laisser sa chance. Love Love ♥


© Halloween de Never Utopia



Dernière édition par Shimizu Nyo le Mar 1 Juil - 13:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Shimizu Nyo ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société !   Shimizu Nyo  ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société ! EmptyLun 30 Juin - 20:58

Bonjour, bonsooir ~
Bienvenue sur Taste of Fame ! *w*

J'adore le début de ta fiche, et puis tu as très bien cerné la détermination de pouvoir, ça fait plaisir ! o/

Gambatte  :yeuxdoux: 
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MessageSujet: Re: Shimizu Nyo ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société !   Shimizu Nyo  ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société ! EmptyLun 30 Juin - 21:11

Merci merci!
Contente que ça te plaise alors  :lang: 
Ma fiche est bientôt terminée au passage o/
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MessageSujet: Re: Shimizu Nyo ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société !   Shimizu Nyo  ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société ! EmptyMar 1 Juil - 13:44

Sorry pour le double post,

Voilà voilà j'ai terminé ma fiche! ♥

Je sais que la fin est un peu "légère" mais je préfère développer tout ça par RP o/
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MessageSujet: Re: Shimizu Nyo ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société !   Shimizu Nyo  ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société ! EmptyMer 2 Juil - 6:25

Je trouve ton histoire excellente (bien que triste) 8D

TASTE OF

FAME



Bienvenue sur Taste of Fame !
Te voilà validé ! C'est donc le moment d'aller faire ta fiche de liens et de rps, ainsi que de demander un logement ou quoi que ce soit d'autres. Et puis bien sûr, tu peux dorénavant rp et aller t'amuser dans le flood !
Bon jeu et que la force soit avec toi \o/


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MessageSujet: Re: Shimizu Nyo ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société !   Shimizu Nyo  ▬ Et même si je dois finir complètement bourré, je ne serais jamais aussi minable que la société ! Empty

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